© ANDRMétait ou non conforme (en termes d’exigences ou de recommandations) et apporter des actions correctives (planification sur 2007). Sur le bilan présenté lors du colloque, sur 189 points, 59 % étaient satisfaisants, il fallait être vigilant sur 36 % et 5 % étaient non conformes. Rappelons que cette norme n’est pas obligatoire mais volontaire. Mais certaines villes voudraient faire certifier leur restauration. L’ANDRM et l’AFNOR travaillent sur ce point. Le Kremlin-Bicêtre, en région parisienne, a pour sa part évoqué l’accueil et le temps du repas à l’école, avec l’élaboration d’un projet éducatif périscolaire, propre à « enclencher une dynamique de changement » selon, le directeur de l’Education Gérard Diaz. C’est en 1998 que les changements ont commencé à s’opérer, avec notamment une amplitude horaire élargie (de 1h30 à 2h), l’organisation d’activités éducatives, le renforcement du taux d’encadrement… Les objectifs du projet : favoriser l’accès de tous au restaurant scolaire (il était réservé auparavant aux enfants dont les deux parents travaillent), renforcer la complémentarité école-loisirs, mais aussi la qualité du service rendu en s’appuyant sur la norme…
La ville d’Annecy a exposé la mise en place d’une enquête de satisfaction. Elle date de 2003, un an après l’ouverture de la nouvelle cuisine centrale. Validée en commission scolaire, elle présentait 18 questions (fréquentation, quantités et qualité du repas, animations, rapport qualité/prix…) et