rassurant pour les uns (presque du luxe) et une charge ou un piège à production pour les autres. Si le travail en lui-même des légumes a été évoqué, par l’ingéniosité des recettes par exemple, la qualité des légumes et leur cherté ont pour une large part accaparé l’attention des participants : Comment peut-on mieux acheter ? Comment sont-ils conservés, combien de temps ? Alors que la maîtrise du produit et de son coût paraît plus simple avec le surgelé, il a été montré que le produit frais exigeait des connaissances plus pointues, tant sur ses caractéristiques intrinsèques, pour bien le choisir par exemple, que sur son travail, pour éviter par exemple les pertes à l’épluchage. Quand une cuisine opte pour une légumerie, elle met au final le doigt sur une grosse machinerie. Seule donc l’exigence du professionnalisme lui donnera un avenir. Dans ce contexte, le CCC s’est mis en avant, notamment avec le guide Aprifel et les recommandations CCC-Interfel.