Les patients pouvaient goûter plusieurs plats, élaborés à partir de produits frais. Des chariots roulants les amenaient au chevet des patients, les finitions (remise en température à la poêle,…) étaient faites devant eux et les plats servis ensuite sur de petites assiettes ou cassolettes. «Développer l’envie de manger», ajoute Philippe Boubila, était le crédo de ce moment privilégié, qui permettait également un contact plus proche avec le cuisinier. Le personnel et les bénévoles de l’Association Jeanne Garnier étaient bien sûr également présents.
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